Clac ! Un premier coup de cravache s'abat sur mon dos nu. La douleur est vive, mais je ne crie même pas. Clac ! Le second coup est pour mes fesses et là, un gémissement s'échappe de mes lèvres. Je l'ai bien cherché. J'ai voulu être initiée au sexe sadomaso, me voilà servie. Et le pire, c'est que j'ai la chatte trempée et que je n'ai aucune envie qu'il s'arrête.

Une étrange sensation en fait : j'ai presque envie qu'il aille plus loin, qu'il fasse de moi sa chose, moi qui suis, dans la vie, une femme de tête, plutôt indépendante, et même parfois autoritaire. Je suis pourtant bien ligotée par les poignets et les chevilles sur le lit de ce maître BDSM, la croupe offerte à son vice. Et je l'ai voulu.

Après quelques coups de cravache bien sentis, et très douloureux, Maître Olivier se place à côté de moi sur le lit. Il caresse mes fesses d'une main, presque tendrement. Mais de l'autre, je l'aperçois, du coin de l'œil, qui saisit une des bougies posées sur la table de chevet. Je sens que je vais encore souffrir.

Maître Olivier plante deux doigts dans ma chatte, comme s'il s'était agi d'une anse pour me porter. D'un geste sûr, il me soulève les fesses grâce à cette prise. Il doit sentir toute la cyprine qui a coulé de ma chatte depuis le début de la séance. Cette toute première session BDSM m'a mise dans tous mes états : je suis ruisselante de mouille, mes seins me font mal tant ils pointent.

Une première goutte de cire chaude tombe sur mon dos, puis une seconde, plus épaisse, plus brûlante encore. Mon corps est pris de spasmes sous l'effet de la douleur, mais mon dominateur me maintient grâce à ses doigts dans mon sexe. Il passe un filet de cire chaude de ma nuque à la naissance de mes fesses et je me tords désespérément en tout sens.

Je sais qu'il doit me trouver plus belle quand je morfle comme ça, quand je ne me contrôle plus. Voilà, il en a fini avec la bougie. Il conclue avec quelques claques viriles sur mes fesses, qui doivent être rouges écarlates, désormais. Je reprends mon souffle, péniblement. Mon sexe me brûle, non pas par les v i o l ences qu'il lui a fait subir, non. Il me brûle car j'ai une envie désespérée de jouir.

Lui aussi, il est excité. Il bande. Le voici qui se présente face à moi, me tire par les cheveux pour redresser ma tête jusqu'à son chibre épais. Il s'enfonce dans ma bouche, jusqu'à l'étouffement. Il me griffe le dos, retire des plaques de cire refroidie tout en me limant la gorge. Il pousse quelques grognements de plaisir, vite couverts par mes gémissements de douleur quand il reprend la cravache pour m'en asséner quelques coups sur le postérieur.

Mais il faut que je le suce et, malgré la souffrance, je parviens à le reprendre en fond de gorge, jusqu'à ce qu'il éjacule en longs traits de foutre jusque contre ma glotte.

PRECISIONS

Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.

Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.

Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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